Message en retard... 12 février 2009

Il semble y avoir eu un problème avec mon serveur. Quelques messages de février'09 n'ont pas été diffusés. Pour votre plaisirs, voici le message du 14 février 2009 - en reprise!

La Saint-Valentin, ça craint !

Je vous le dis tout de suite : la Saint-Valentin chez moi : ce n’est jamais super. C’est une tradition, depuis longtemps.

Aujourd'hui, ma chemise a rendu l’âme ce matin après deux ans de bons et loyaux services, du coup jme les gèlent !

Il fait un temps dégueulasse !

En plus j’ai oublié mon cellulaire.
Journée de merde, je vous dis.

Le jour d’avant, tout va bien, le jour d’après, tout va bien, mais le jour J, tout va mal. Aussi loin que je peux remonter dans mes souvenirs de tentative de fête de Saint-Valentin : ils sont tous mauvais.

Sauf peut-être en 1999 (?) où on m’a fait cadeau d’une mononucléose. J’ai passé la journée à dormir. C’était la moins pire de toutes !

Donc.
La Saint-Valentin, c'est grave. Comme si on avait besoin d’un jour dans l’année pour se dire qu'on s’aime. En plus moi je ne peux pas m’empêcher de penser aux gens que je connais qui passent leur St-Valentin tous seuls. Et puis bon, les cadeaux de Saint-Valentin coquins genre culottes ou autres dong, les gens n'ont pas besoins d’attendre le 14 février pour s’en payer, tsé hein.

Voilà pourquoi j’ai voulu que, très jeune, ma sœur intègre que le 14 février est un jour de merde voué à nous pourrir la vie.

Rendons-nous en l’an de grâce 1988. (ajouter ici l'effet sonore de votre choix)

J’ai remarqué que c’est toujours du même petit garçon dont les filles raffolent. Encore une histoire de phéromones, je parie.

Saloperies de phéromones, tu pus!!

Évidement, ma sœur était amoureuse du ptit gars. Je l’ai tellement agacé avec cette histoire qu’elle a cessé d’avoir un kick sur le ptit gars.

Il s’appelait Jean… affreux !
Avec vingt ans de recul, je sais que j’ai rendu service à cette enfant. Aujourd’hui, plutôt que de passer la journée sous la pluie à partager les germes d’un garçon boutonneux, ma sœur restera sagement chez elle à écouter de la musique gothique.

Blague à part, ma sœur n’écoute pas de musique gothique, elle est tout le contraire. Malgré tout, je crois l'avoir aidé... Bah, c'est ce que son psychologue me disait.

Cette journée de merde est dû à plusieurs éléments, l’affronter seul semble difficile cette année.
De mon côté, en tant que personne définitivement philanthrope, j’ai décidé d’offrir ma grippe à mes collègues de travail, amis et famille. Je vous mets au défi de faire autant de cadeaux en une seule journée.

Bande d’égoïstes.

Puisque c’est comme ça, j’vais me coucher.